Marcel, voix off : La ville de la Nouvelle-Orléans : des gens des quatre coins du pays viennent faire la fête et il y en a pour tous les goûts. Certains veulent juste s'amuser un peu, d'autres recherchent des sensations un peu plus fortes, plus sombres, plus dangereuses. Alor, nous les invitons chez moi et nous leurs en donnons pour leur argent. Plus tard dans la soirée, les douze coups de minuit annoncent l'heure du dîner.
[ L’ABATTOIR ]
(Les personnes invitées à la soirée se font mordre par les vampires pendant que Marcel et Klaus discutent)
Marcel : Voilà comment on maintient le moral des troupes. Avec un buffet à volonté de temps à autres. Les rôdeurs de nuits, ils adorent ça. Ils doivent bosser dur s’ils veulent obtenir une bague de jour comme celle-ci.
(Marcel montre sa bague à Klaus)
Marcel : Ils ont besoin de souffler. Et mes rôdeurs de jour, mes plus fidèles, ils sont justes là pour s'éclater.
(Klaus remarque un écusson sur le mûr)
Klaus : C'est une sacrée opération. Dis-moi, qu'est-ce que tu fais des victimes? Ça fait un paquet de tombes à creuser.
Marcel : On ne veut pas tous les tuer. Trop de gens disparaissaient, ça serait mauvais pour le tourisme, alors on les soigne avec un peu de sang de vampires, on efface leurs mémoires et ont les laissent repartir, ni vu, ni connu.
Klaus : Tu m'impressionnes.
Marcel : Tout ça, c'est toi qui me l'a apprit, il y a longtemps.
Thierry : Marcel.
(Un homme arrive)
Marcel : Qu'est-ce qu'il y a ?
Thierry : Six gars se sont fait tuer à l'extérieur du Vieux Carré. Des rôdeurs de nuit. Personne n'a rien vu.
(Au volant de sa décapotable rouge, Rebekah essuie les dernières traces de sang de son visage. Elle arrive en ville)
[ MAISON DES MIKAELSON ]
(Rekekah arrive à la maison du gouverneur. Elle sort de la voiture, le téléphone en main.)
Rebekah : Elijah, si ne pas décrocher ton téléphone fait parti de ton plan de génie pour m'attirer dans cette sinistre ville, j'te félicite. Le suis là et je suis morte d'inquiétude, alors réponds-moi avant que je vienne enfoncer ta porte.
(Rebekah passe la porte de la maison pendant que Hayley descend les escaliers)
Hayley : Vous êtes qui?
Rebekah : Oh, vous devez être la bonne. Mes bagages sont dans le coffre.
Hayley : Heu non, je ne suis pas la bonne.
Rebekah : Je vois, oui. Tu es le loup-garou femelle que mon frère Klaus à mise en cloque. Je m'attendais à voir un ventre spectaculaire de future maman. Faut croire qu'il est trop tôt. Hayley c'est ça ?
Hayley : Tu as les manières de ton frère.
Rebekah : Et j'ai son mauvais caractère, alors fais gaffe ! Où est Elijah?
Hayley : Ca fait un bail qu'il est parti ! J'en sais rien.
Rebekah : Un bail ? C'est-à-dire?
Hayley : Et bien, il me faisait des serments. Il me promettait de me protéger, malgré le manque de bon sens évident et l'abus d'alcool qui m'ont mis dans cette situation délicate. Il était très lyrique. Il parlait de la famille et ensuite Klaus a dit qu'il était parti. C'est ce qui arrive quand on fait confiance à un vampire.
Rebekah : Elijah est différent. Il n’est pas du genre à oublier ses promesses. J’imagine que Klaus lui a fait un plan foireux dont il a le secret. Klaus sort de là et dis-moi ce que tu as fais à notre frère, sale égoïste, perfide et manipulateur.
(Klaus sort de la pièce dans laquelle il se trouvait)
Klaus : Ca suffit ! Tu nous casse les oreilles. Ma petite sœur. J’aurais dû m’en douter : les six vampires qu’on a retrouvés morts, c’était toi, non ?
Rebekah : Ils étaient très grossiers. C’était inacceptable de s’en prendre à une innocente qui venait juste demander son chemin. C’était tes amis ? Je suis désolée. Ah non, c’est vrai. Tu n’en a aucun.
Klaus : Non, c’est faux ! J’en ai un. J’ai Marcel. Tu te souviens peut-être de lui ? Evidement que tu t’en souviens. Il se prend pour le roi du Vieux Carré. Il a édicté des règles concernant les meurtres de vampires. Ça sera marrant de voir quel châtiment il mettra en place pour toi.
Rebekah : Sache que je n’ai pas peur de lui, ni d’aucune de ses règles. Quand Elijah fait une promesse, il l’a tient. Où est-il ? dis-le moi !
Klaus : Peut-être qu’il est parti en vacances ou il est là-haut et il fait un petit somme pour l’hiver. Je t’en prie, fait comme chez toi. J’imagine que tu te souviens de cet endroit ?
Rebekah : Ma mémoire est intacte.
(Rebekah passe la porte)
(FLASHBACK - MAISON DU GOUVERNEUR - 1820)
(Rebekah entre dans une salle remplie de convive)
Rebekah, voix off : Je me souviens de ce gouverneur alcoolique, idiot qui couvrait nos crimes devant Pierre contre un peu d’or. Je me souviens des soirées fastidieuses qu’il organisait pour t’impressionner. Je me souviens que j’avais trouvé de l’affection auprès de son fils, Emil. Je me souviens que même Elijah était heureux.
(Elijah et son amante, Celetes sont à l'étage et s’embrassent. Klaus est également présent, qui lui, s'abreuve du sang de deux jeunes femmes)
Celeste : C’est un malade. Regarde ton frère.
Elijah : Tu es irrécupérable mon pauvre frère.
Rebekah : Nous ne vous dérangeons pas ?
Klaus : Si.
Elijah : Non.
Rebekah : Très cher Elijah, tu as toujours souhaité mon bonheur, et nous sommes très amoureux. Je peux en faire un vampire ?
(Rire de Klaus)
Elijah : Rebekah, le gouverneur à gracieusement accepté de taire nos extravagances… qui sont nombreuses. Je doute qu’il laisse son fils unique devenir un des nôtres.
Rebekah : Je t’en prie ! Pour moi.
Klaus : Certainement pas chère sœur. Si nous devions transformer tous les hommes qui goûtent à tes charmes, l’espèce humaine cesserait vite d’exister et nous n’aurions plus de quoi nous nourrir.
Emil : Surveillez votre langage ! Je vous le conseil…
(Klaus prend Emil par la gorge)
Elijah : Non, un instant !
Rebekah : Klaus.
(Klaus traîne Emil jusqu'à la rambarde des escaliers)
Elijah : Klaus.
(Klaus jette Emil par-dessus les escaliers. Emil meurt sur le coup)
Elijah : Non !
Rebekah : Nooooon !
Elijah : Rebekah.
(Klaus donne une tape sur l’épaule d’Elijah avant de partir)
(AUJOURD’HUI)
Klaus : Il n’était pas assez bien pour toi.
Rebekah : Tu as toujours veillé à ce que personnes ne puissent l’être. Où est Elijah ?
(Klaus se lève)
Rebekah : Où est-ce que tu vas ?
Klaus : La soirée ne fait que commencer et je vais aller boire un autre verre avec Marcel.
Rebekah : J’ai eu Elijah au téléphone et il m’a dit que tu projetais de t’approprier son empire, il ne m’a pas dit que tu comptais siroter des verres de whisky avec lui.
Klaus : Tu n’as que très peu d’amis je le sais bien, mais les amis, lorsqu’ils se retrouvent autour d’un verre, discutent, s’ils boivent un peu trop, ils racontent leurs secrets. Marcel à trouver le moyen de contrôler toutes les sorcières du Vieux Carré et j’aimerais savoir comment il fait et m’en inspirer. Chercher Elijah n’es pas sur ma liste des choses à faire
(Klaus quitte la maison)
Klaus : Ha au fait, soit la bienvenue petite sœur.
(Rebekah se retourne et voit Hayley)
Rebekah : Toi, le loup garou. Je vais fouiller la maison de fond en comble jusqu'à ce que je découvre ce que mon horrible frère a fait au frère que j’aime. Et tu vas m’aider.
[ MAISON DES MIKAELSON / SOUS-SOLS ]
(Elles descendent les escaliers)
Rebekah : Le gouverneur avait de nombreuses chambres secrètes. Je vais te montrer sa préférée.
Hayley : Klaus l’aurait tué, tu penses ?
Rebekah : Personne ne peux nous tuer, idiote. Cela dit, ça n’empêche pas Klaus de vouloir nous torturer. Il a un assortiment de dague d’argent. Plantée dans le cœur, elle nous plonge dans un sommeil profond. Ensuite, il adore nous ranger dans un de ses magnifiques petits cercueils jusqu'à ce qu’il retire la dague. J’imagine qu’Elijah est là-dedans. Hum celui-ci, c’est le mien.
Hayley : Il vous met dans un cercueil en stand-by ?
Klaus : Il veut que tout soit près pour le jour où sa famille finira inévitablement par le décevoir. Elijah n’est pas ici, il a dû le cacher autre part.
Hayley : J’ai la nausée.
Rebekah : Bienvenue dans la famille très chère. A ta place, j’aurais filé dès qu’Elijah a disparu.
Hayley : Eh bien, les sorcières ont lancées une espèce de malédiction sur moi : tans que je porte ce bébé je dois rester à la Nouvelles-Orléans, sinon elles me tueront.
Rebekah : Klaus à du préparer un cercueil et dès que tu auras pondu son héritier, il t’y expédiera. Je partirai dès que j’aurais trouvé Elijah, parce que rester planter des décennies dans un cercueil, ça craint, crois-moi. Débrouille toi pour annuler le sort et vas t-en !
[ CHEZ ROUSSEAU ]
(Sophie frotte une des tables du bar. La porte claque violement ce qui effraie Sophie)
Sophie : Y’a quelqu’un ? T’es sérieux Marcel ? T’essaye de me faire peur ? J’y suis pour rien si tes gars se sont fait attaquer hier soir.
(Sophie se dirige vers la cuisine et prend un couteau. Soudainement, Rebekah surgit et empêche Sophie de prendre le couteau)
Rebekah : Sophie Deveraux. Mon frère Elijah m’a parlé de toi. Tu me connais ?
Sophie : Ouais. J’te connais.
Rebekah : Alors j’ai deux mots à te dire.
[ CIMETIERE LAFAYETTE ]
(Rebekah et Sophie marchent dans le cimetière)
Rebekah : J’imagine, connaissant les habitudes de Klaus, qu’Elijah à une dague dans le cœur. C’est un objet magique. Tu es une sorcière, je voudrais que tu lances un sort pour localiser la dague et le retrouver.
Sophie : L’usage de la magie est interdit, on peut mourir pour ça. Les règles sont très strictes.
Rebekah : Sans blague. Et tu ne crois pas que je te tuerais si tu ne fais pas ce que je te dis.
Sophie : Ca m'étonnerait. On m'a unie à Hayley, alors si tu essayes de me tuer, tu l'as tuera, elle aussi.
Rebekah : Qui ça ? Hoo la future maman. Elijah a l'air de tenir à elle, tans mieux pour toi, sinon je t'aurais déjà brisé la nuque. Comment Marcel c'est débrouillé pour devenir si puissant ? C'était différent quand j'étais ici, il y a un siècle.
Sophie : Il a une combine pour détecter si quelqu'un fait de la magie dans le Vieux Carré, c'est le plus important.
Rebekah : C'est à moi de juger ce qui est important ou pas. Si vous n'avez plus le droit d'exercer la magie, j'ai un conseil. Faites vos valises !
Sophie : On pratique une magie ancestrale et ces dans ce cimetière que reposent les sorcières qui sont nos ancêtres. Loin d'elles, on n'a plus aucun pouvoir. Si on fuse, c'est notre héritage qu'on abandonne. C'est notre foyer, notre famille.
Rebekah : La famille c'est surtout galère. Regarde-moi ! Je me retrouve dans une ville qui m'a apportée que des malheurs. Je cherche mon frère qui ne pense qu'à protéger un bébé dont je n'en ai rien à faire.
Sophie : Désolée, j'ai du mal à le croire. Tu es là.
Rebekah : Oui, pour Elijah. A l'instant où je le retrouve, je repars d'ici. C’est lui qui à eu l'idée débile que ce bébé rendrait Klaus meilleur et là, il a disparu et c'est sûrement Klaus qui est responsable. Et toi, tu as été idiote pour croire qu'il le convaincrait de renverser Marcel quand tout le monde sait qu'ils sont très liés.
Sophie : Il a créé Marcel, d'après ce qu'on m'a dit.
Rebekah : C'est bien plus que ça. Il faut que tu comprennes qu'ils avaient une relation spéciale. Klaus l'aimait comme un fils.
(FLASHBACK)
Rebekah, Voix off : J'étais là le jour de leur rencontre. C'était les funérailles d'Emil, le fils unique du gouverneur. Du moins, c'est ce qu'on croyait. En réalité, il en avait eu un autre avec une de ses esclaves.
(Marcel se fait frapper dans le dos par un homme à cheval jusqu'à ce que Klaus le tue et s'approche de Marcel)
Klaus : Comment t'appelles-tu?
Marcel : J'ai pas de nom. Maman voulait attendre mes dix ans, au cas où la fièvre me tuerait, mais elle l'a tuée avant.
Klaus : Tu es un battant, et les battants doivent avoir un nom, pas vrai ? Que penses-tu de Marcellus?
Marcel : Marcellus?
Klaus : Ca vient de Mars, le Dieu de la guerre, et cela signifie «jeune guerrier»
(Klaus tend la main à Marcel et l'aide à se relever)
Elijah : Il reste un peu d'espoir après tout.
(AUJOURD’HUI)
Rebekah : Ce garçon lui rappelait son passé, il se remémorait souvent les fois où notre père le battait. Lui aussi n'était qu'un batard à ses yeux, ce n'était rein de plus qu'un horrible monstre. Voilà pourquoi ton plan est voué à l'échec. Tu as réuni deux âmes perdue, c'est tous ce que tu as réussi à faire. Sans Elijah pour les chaperonner qui sait ce qu'ils feront ?
(Rebekah part laissant Sophie seule dans le cimetière)
[UN BAR ]
(Marcel est assis à un bar se servant un verre avant que Klaus ne fasse son apparition dans le bar)
Klaus : Je dois dire que ça n'a rien à voire avec l'ambiance d’hier soir. Haaaaa. A la poursuite de la Bairmaid du Rousseau on dirait.
Marcel : Eh bien, c'est un projet en cours.
Klaus : Et tu es là à te languir, alors que tu devrais la dévorer pour ton déjeuner. Donc j'imagine qu'elle te plait.
Marcel : D'abord les affaires. Le légiste m'a téléphoné. Il a mon numéro si on retrouve des corps de touristes.
Klaus : Laisse-moi deviner, il a des touristes avec un M sur la main et du sang de vampires plein les veines ?
Marcel : Ca arrive. Parfois, ils se cuitent et tombent d'un balcon ou dans le Mississippi. Et aujourd'hui j'en ai deux à gérer.
(Camille plaisant à Marcel quitte le bar, mais est arrêtée par Klaus)
Klaus: Excusez-moi ! Qu'est ce que vous étudiez ?
Camille : Les psychopathologies.
Klaus : Les psychopathologies, dit donc. Vous pourriez m'aider ? J'ai un ami que je voudrais diagnostiquer. Le voilà. Il est un peu déprimé. Il pense à une fille sans arrêt. Il me dit que ces une Reine faite pour un Roi. Je pense qu'il devrait laisser tomber et passer à autre chose, qu'en dites-vous en tans que pro ?
Camille : Eh bien, si vous êtes sympathique, une opportunité se présentera peut-être.
Marcel, se levant : Et pourquoi pas ce soir ? Disons neuf heures ici. Je passerai vous chercher.
Camille : Je vais tâcher d'y réfléchir.
(Camille quitte le bar)
Marcel : Hum sauvage.
Klaus : Il faut croire que j'ai perdu le coup de main ou que tu as perdu le tien.
[ JARDIN GRIS ]
(Hayley se dirige vers un magasin qui est sur le point de fermer)
Hayley : Ho, hey, hey.
Katie : C'est fermé, désolé.
Hayley : Je cherche une herbe. J'en veux juste quelques grammes.
Katie : Quelle herbe?
Hayley: De la fleur d'aconit séchée.
Katie : De la tulipe bleue, c'est un poisson. Vous allez tuer un loup?
Hayley, se caressant le ventre : Juste un tout petit.
Katie : Une minute.
(La femme part chercher ce qu'a demandé Hayley)
Katie : Ajouter de l'herbe folle, quelques goutes dans un peu de thé. Ca devrait suffire.
Hayley : Tenez.
(Hayley lui tend de l'argent que la femme refuse)
Katie : Cette ville est cruelle avec les loups. Vous avez raison de le faire.
(Hayley part et quand elle fut assez loin, Katie prend son téléphone)
Katie : Hey, tu veux un bon point ? Dis à Marcel qu'il y a un loup-garou dans le Vieux-Carré.
[ UN PARING SOUS-TERRAIN ]
Klaus : Tu me fais visiter des coins sympas.
(Klaus et Marcel se dirige vers une camionnette de coroner. Lorsqu’ils arrivent, Thierry et Diego, ses plus proches amis, ouvrent la portière arrière du véhicule. A l’intérieur de celui-ci s’y trouve deux jeunes touristes, Joshua et Tina)
Tina : Qu'est ce qui se passe?
Marcel : Bienvenue à nos jeunes décédés. Je ne vais pas vous faire perdre votre temps. J'imagine que tu les as briefés.
Thierry : Pour être franc, il n'y a pas un grand potentiel avec eux.
Marcel : Je vois. Je viens de perdre six rôdeurs de nuits, donc il faut que je recrute. Je serais bref. La sensation que vous ressentez, c'est le besoin de vous nourrir, de boire du sang humain. Buvez-en, vous serez des vampires. Refusez, vous crèverez encore, sauf que ça sera pour de bon. Ici, dans ses housses mortuaires.
(Marcel recule en direction de Klaus)
Marcel : Qu'est ce que tu en penses ? La jolie idiote ? Ou son ami gay?
Klaus : A toi l'honneur.
Marcel : A moi l'honneur, ok. Le premier qui attrape cette pièce vivra pour l'éternité.
Joshua : Qu…oi?
Marcel : L'autre mourra.
Tina : Haa
Marcel : Partez !
Joshua : Quoi, non!
(La fille s'empare de la pièce posée près d'eu.)
Marcel : Haha ! Ben ça alors ! Sacrée coquine.
Joshua : J'hallucine que t'ai fait ça.
Tina : Ca va Josh ! Je n'avais pas le choix. Tu aurais fait exactement pareil si tu avais été moins lâche.
(Marcel brise le cou de la jeune femme)
Marcel, à Thierry : Laisse-la mourir au frais. Je n'aime pas beaucoup les gens qui trahissent leurs amis. Allez, on va se balader.
Klaus : Debout !
(Marcel part)
[ UN PARKING ]
(Un groupe de musicien font une parade musicale dans la rue. Au même moment, Marcel est au téléphone)
Marcel : D'accord. C'est noté.
(Klaus place Josh dans une voiture)
Marcel : Qu'est ce que tu sais d'autres?
(Rebekah est sur un balcon et observe la scène)
(Rebekah observe la scène de la hauteur. Elle se remémore, l’époque où elle faisait de l’escrime avec Marcel)
(FLASHBACK – 1820)
(Rebekah et Marcel pratique l'escrime pendant que Klaus fait l'arbitre)
Klaus : Attaque au fer. Vas-y, parage. ! Touché. Très positivement touché.
Marcel : Plus tard, je t'épouserais.
Rebekah : Je refuserais d'épouser un homme que je peux battre en duel.
(Rebekah et Marcel rigolent)
Rebekah : Une autre leçon ?
(Les années ont passées. Rebekah et Marcel pratiquent toujours l'escrime jusqu'à ce que Marcel plaque Rebekah contre mur. Mais au moment où ils commencent à s'embrasser, Klaus arrive)
(AUJOURD’HUI)
(Tandis que Rebekah se remémore le passé, elle ne fait pas attention à l’arrivée surprise de Marcel)
Marcel : Rebekah Mikaelson. Tu es venues me donner une nouvelle leçon ? La dernière fois que je t'ai vu, Royal Street brûlait, et avec tes frères, tu fuyais ton père loin d'ici.
Rebekah : Je te croyais mort.
Marcel : Tu aurais peut-être du vérifier. Qu'est ce que tu veux?
Rebekah : Elijah. Je pense que Klaus lui a fait du mal.
Marcel : Arrête toi là, tout de suite ! S’il y bien une chose que j’ai retenu à propos des Mikaelson, c'est qu'il ne faut jamais se mêler de leurs affaires. Ca porte malheur.
(FLASHBACK – 1820)
(Klaus et Marcel discutent)
Marcel : Il y a rien entre nous, je te le jure sur ma vie.
Klaus : Ta vie compte beaucoup pour moi. Accorde-moi le privilège de ton honnêteté, ou cela ne sera plus le cas.
Marcel : Elle me plait. Je crois que c'est réciproque. Je n'ai rien entreprit avec elle parce que j'attends que tu…
Klaus : Hors de question. J'aime ma sœur. Mais quand il s'agit de ses amours, elle joue de malchance. Les hommes se succèdent, mais il n'y a que moi qui reste. C'est ma famille.
Marcel : Tu as aussi dit que j'étais ta famille. Je t'ai supplié de faire de moi un vampire.
Klaus : Et je t'ai dit que je le ferai un jour, quand tu seras prêt. Si tu t'approches d'elle, alors ce jour n'arrivera jamais.
(AUJOURD’HUI)
Rebekah : Malgré toutes tes réussites, tu as encore peur de lui.
Marcel : Personne ne me fait peur.
Rebekah : Si je découvre que tu sais où est Elijah, Klaus sera le cadet de tes soucis. Je te tuerais moi-même.
Marcel : Je suis content qu'on ait pu discuter, mais je n'ai aucune infos pour toi. J'ai été ravi de te revoir. Bonne chance pour tes recherches.
(Marcel saute par-dessus le balcon et laisse Rebekah seule)
[ CHEZ ROUSSEAU ]
(Klaus boit un verre et Marcel le rejoint)
Klaus : Dit donc tu en fais une tête. Problème de cœur?
Marcel : Est-ce que tu sais que tu es un vrai con? Pourquoi tu m'as caché que Rebekah était là?
Klaus : Je trouvais ça plus amusant que tu le découvre tout seul.
Marcel : Il y a d'autres choses que je devrais savoir?
Klaus : Seulement qu'elle est devenue encore plus dingue qu'au siècle dernier.
Marcel : Ou peut-être que c'est elle qui à tué mes rôdeurs.
Marcel : Ca m'étonnerait, sauf si ton bar à Biker est fréquenté par des lycéens qui jouent au football, à mon avis ça n'a pas dû l'intéressée.
(Marcel reçois un coup de fil et décroche)
Marcel : Ouais ?
Thierry : J'ai une info. Un loup-garou à été vu à Bienville Parc.
Marcel : Embarque quelques rôdeurs, retrouve-le, puis rapporte-moi sa tête.
(Marcel raccroche)
Klaus : Eh bien voilà ce qui résout le mystère et tout ce pas à caisse autour des meurtres. Ma sœur est innocente.
Marcel : A propos d'elle, je n'ai aucune envie d'être mêlé à vos problèmes de famille. Tu es mon invité, surveille ta frangine.
(Marcel quitte le bar)
Klaus : Autant vider le Mississippi avec un seau.
[ PARC BIENVILLE ]
(Hayley ajoute quelques goutes de fleur d'Aconit dans son verre)
Hayley : Allez, courage. Quelques crampes d'estomac et cette comédie absurde sera de l'histoire ancienne.
(Hayley peut entendre des bruits avant qu'un homme fasse son apparition)
Homme : Ce n'était pas malin de traîner dans le Vieux Carré. Tu vas venir avec moi la Louve.
Hayley : J'en ai ras-le-bol de ces vampires qui viennent me donner des ordres.
(Elle lance le contenu de son verre sur le visage de l'homme, lui faisant face. Au même moment, alors qu’elle tente de s’échapper, deux autres hommes apparaissent, mais ils sont immédiatement tués par Rebekah qui fait irruption)
Rebekah : Dis donc, ce n'est pas comme ça qu’on parle à une femme enceinte. Je déteste les hommes mal élevés.
[ MAISON DES MIKAELSON ]
(Hayley, Rebekah et Klaus sont réunis)
Klaus : Voilà pourquoi je t'avais dit de ne jamais quitter la maison. Les loups-garous sont bannis du Vieux Carré. J'avais un plan et votre virée nocturne vient de le mettre en péril.
(Rebekah se rapproche de Klaus)
Klaus : Ne me touche pas ! Tu en a déjà assez fait, tu ne crois pas? Je te félicite d'avoir semé des cadavres jusqu'à la porte de ma maison.
Rebekah : Tu as de la chance que je les aie entendus se pavaner en parlant de tête de loup, sinon on serait dans la merde jusqu'au cou. Et ne viens pas me parler de ton plan. Tu as eu tout le temps du monde pour l'exécuter ton plan. Et personne ne t'a vu faire la moindre chose. Elijah avait passé un accord qui protégeait ton enfant et qui en plus était l'occasion pour toi de te soustraire à ta vie d'égoïste. Mais de toute évidence, tu te fous complètement de ton enfant ou d'Elijah parce que sinon tu aurais fais quelques chose.
Klaus : J'ai tout fait. J'ai tout tenté. Tu veux peut-être que je te fasse un compte-rendu ? Depuis que je suis arrivé, Marcel n'a aucune confiance en moi. Depuis le premier jour, il donne à ses vampires de la veine de venus qui, comme tu le sais très chère sœur, les protèges contre mes pouvoirs d'hypnose.
(FLASHBACK)
(Josh Et sa meilleure amie sont dans un bar)
Klaus, voix off : Il me fallait un espion.
Tina, à Joshua : Tu te souviens d'où on était?
Klaus, voix off : Quelqu'un que Marcel ne soupçonnerait jamais. Alors, j'ai profité d'une faille dans le système et pris les devants.
(Klaus neutralise les deux jeunes personnes)
(AUJOURD-HUI)
Klaus : Il venait d'en perdre six. Six vampires grâce à ta frénésie meurtrière. Il lui fallait des nouvelles recrues.
(FLASHBACK)
Marcel : D'accord.
Klaus, voix off : Alors, je me suis approprié le nouveau, avant qu'on lui donne de la veine de vénus.
(Klaus jette un œil à Marcel avant de parler avec Josh)
Klaus : Et si ont discutaient tous les deux, des choses que tu pourrais faire pour moi.
(AUJOURD’HUI)
Klaus : Mais pour toucher un homme définitivement, il faut toucher son cœur. Alors…
(FLASHBACK)
(Camille entre dans le bar où se trouve Klaus avant qu'il ne lui parle)
Klaus : Alors, que penses-tu de mon pote? Il est sympa, qu'est ce que tu en dis??
Camille : Non. Il charmant, sexy, sûr de lui, extrêmement attirant, mais il ne faut pas se leurrer. C'est un mauvais garçon, et toi aussi. Et pour l'instant, je cherche quelqu'un de bien, qui ne soit surtout…
Klaus : Ni abimé par la vie, ni ravagé par les démons insatiable qui ne le lâcheront jamais.
Camille : Euh… les hommes ravagés, ils sont dangereux. En tout cas, pour moi.
(Camille se dirige vers une autre table quand Klaus lui prend la main)
Klaus : Je suis d'accord avec toi, je te jure. Cela dit, laisse-lui sa chance, ensuite tu me diras où il va et qui il voit.
(AUJOURD’HUI)
Klaus : Et celui-là, je vais le purger entièrement, qu’il n’ait plu de veine de vénus dans le sang, et puis je l'hypnotiserai pour qu'il pense que ses potes ont trouvé Dieux et qu'ils sont partis chez les mormons. Et ensuite, il ira expliquer à son patron pourquoi trois autres vampires ont disparus ce soir.
(Klaus tire une des victimes avant de rentrer dans sa maison suivit de Hayley et Rebekah)
Klaus : Est-ce que l'une d'entre vous à des questions?
(Les deux femmes ne répondent pas)
Klaus : Non ? Parfait. Parce que moi j'en ai une. Hayley. Tu peux me dire ce que tu faisais dans le Vieux Carré, s'il-te-plaît?
(Hayley ne répond pas à sa question et s'énerve)
Klaus : Tu vas répondre !
Rebekah : Fiche lui la paix !
Hayley : Je suis allée acheté du poison pour épargner à ton bébé une vie misérable.
(Sous le coup de la colère, Klaus attrape Hayley par la gorge avant de la plaquée contre le mûr)
Rebekah : Klaus!
(Klaus ne lâche pas Hayley)
Rebekah : Arrête !
(Klaus ne la lâche toujours pas, alors Rebekah réagi et plaque Klaus sur l'autre mur)
Rebekah : Arrête ! Laisse-la tranquille ! Tu es malade ? Enfin, elle est enceinte. Toute cette comédie comme quoi tu ne veux pas d'enfant et à la seconde où elle te dit qu'elle a voulu s'en séparer. Tu as le droit d'y tenir. Tu as le droit de vouloir quelque chose. C'est tout ce qu'Elijah voulait te faire comprendre, tous ce qu'il souhaitait pour toi. On n'a jamais rien voulu d'autre.
(Klaus et Rebekah vont s'asseoir sur une marche des escaliers)
Klaus : J'ai livré Elijah à Marcel.
Rebekah : Quoi ?
Klaus : Il était assez tendu. Il a mal vécu le retour d'un originel, alors deux t'imagine. Sa clique était très agitée. Ils voulaient qu'Elijah dégage, alors je lui ai proposé une offre.
Rebekah : Tu as accepté de lui livré notre frère?
Klaus : J'ai un plan. D'abord gagné sa confiance, ensuite démantelé son empire, honoré le vœu d'Elijah en laissant ce bébé venir au monde et j'essaye d'exécuter ce plan de la seule façon que je connaisse. Alors, si ça te dérange, tu n'as qu’à t'en aller. Je ne te retiens pas.
(Klaus se lève te part)
(Rebekah est assise dans une des chaises devant la maison avant d'être rejointe par Hayley)
Hayley : Je sais qu'on se connaît à peine, mais merci. Ça m'a touchée ce que tu viens de faire.
Rebekah : Les filles doivent se serrer les coudes entre elles.
Hayley : Je ne vous comprends pas tous les deux. Tu dis que tu le déteste, mais vu la façon dont tu comportes avec lui, c'est clair que, même quand il t'insupporte, tu l'aimes.
Rebekah : Je crois qu’après des siècles auprès de lui, décider de l'abandonner reviendrait à me perdre aussi. Mais par moment, la haine, elle est tellement forte. Emil n'est pas le seul de mes prétendants que Klaus ait tué. Il à récidivé encore et encore dès qu'un homme s'approchait d'un peu trop près. Sans exception, il les a tués, jusqu'à ce que l'amour ne soit qu'un souvenir. Il disait vouloir me protéger de mes propres erreurs. Pour lui, aucun n'était digne de sa petite sœur, jusqu'à ce qu'un jour un homme le soit.
(FLASHBACK)
(Rebekah est assise sur une chaise jusqu'à ce qu'arrive Marcel)
Rebekah : Alors cette baignade?
Marcel : L'eau était fraîche, délicieuse.
(Rebekah se lève)
Rebekah : Il faut que j'aille….
(Rebekah se retourne et manque de l’embrasser, jusqu'à ce que Marcel retourne Rebekah contre lui la plaque contre le mur avant de l'embrasser, mais la jeune femme tente de le faire reculer)
Rebekah : Mon frère va te tuer.
Marcel : Je mourrais bien heureux.
(Ils continuent de s'embrasser jusqu'à ce que Klaus arrive et plaque Marcel contre le mur tout en le tenant en joug avec une épée)
Klaus : Mes avertissements ont été vains !
Rebekah : Klaus, je t'en prie, arrête ! Il est différent des autres. Tu l'as su dès le premier jour où tu l'as rencontré. Tu l'as sauvé et tu le protège depuis. Tu as été un père pour lui, tu ne peux pas le tuer.
(Rebekah baisse la main de Klaus dans laquelle il tient l'épée)
Klaus : Tu as raison, ce serait une erreur.
(Klaus poignarde Rebekah dans la poitrine)
Rebekah : Mais toi, chère sœur, il faut que tu comprennes qu'il y a certaines choses qui sont à moi.
(AUJOURD’HUI)
Hayley : Si tu sais que Marcel détiens Elijah, pourquoi tu ne vas pas le chercher toi-même?
Rebekah : Parce que, si j'énerve mon frère, il m'enverra dans le cercueil qui m'attend en bas.
(Hayley s'abaisse et prend deux couteaux)
Rebekah : C'est pas vrai !
Hayley : Je les ai trouvés sous ton cercueil. Donc voilà, si cette paire de couteau à viande était la seule chose qui t'empêchais de ramener Elijah à la maison, alors je t'en prie, fonce.
(Hayley tend les deux couteaux à Rebekah qui les lui prend avant de lui sourire)
[ CHEZ ROUSSEAU ]
(Marcel est en compagnie de Camille et prend à boire)
Marcel : J'ai dit aux autres qu'ils pouvaient rentrer. Je suis ton humble serviteur.
Camille : Ha, d'accord. Je t'accorde des points pour la courtoisie.
Marcel : Et t'as encore rien vu. Qu'est ce qui t'a décidé?
Camille : Tout le monde mérite une chance.
(Rebekah passe les portes du restaurant, d'une violence sans nom)
Rebekah : Tu as mentis ! Où est mon frère?
Marcel : Bonsoir à toi aussi, Camille, Rebekah. Rebekah, Camille.
Rebekah : Tu as toujours eu un faible pour les blondes.
Camille : Hé !
(Rebekah empoigne Marcel par le col de sa chemise avant de le coller contre le mur)
Rebekah : Dis-moi où est Elijah!
Camille : Mais qu'est ce qui vous prend??
Rebekah : Dis-moi où est mon frère sinon je te tue.
(FLASHBACK)
(Rebekah et Marcel s'embrassent)
(AUJOURD’HUI)
Marcel : Non, ça m'étonnerais !
Rebekah : Tu as peut-être raison. Mais elle, je n'hésiterai pas à la tuer.
Marcel : Relâche là, tu as gagné ! On va aller voir Elijah.
Camille : Mais vous êtes dingue ! C'est quoi votre problème ?
Marcel : Chuuut, ça va aller. Rentre et oublie ce que tu as vu et je te revaudrais ça, je te le promets. (A Rebekah) Tu veux voir ton frère, d'accord, suis-moi.
[ EGLISE SAINTE-ANNE ]
(Rebekah et Marcel arrivent dans une pièce où on trouve un cercueil)
Rebekah : Invite-moi à rentrer.
Marcel : Il faut demander à la maitresse de maison, Davina. Viens-là, ma belle. Invite-là à entrer.
Davina : Je t'en prie.
(Rebekah se dirige vers le cercueil, l'ouvre et commence à enlever le couteau)
Davina : Je te le déconseille.
Rebekah : Tu es qui toi?
Davina : Davina. J'ai l'impression qu'elle est vieille.
Marcel : Ouais, Rebekah est une Originelle, ce qui veut dire qu'elle est immortel.
Davina : Elle n'a pas l'air très gentille.
Marcel : Elle peut l'être mais elle n'a pas été très gentille avec moi, ce soir.
Davina : Il est temps pour toi de partir, dans ce cas.
(Davina, grâce à sa magie arrive à mettre Rebekah dehors)
(FLASHBACK)
[ L’ABATTOIR ]
(Rebekah se réveille suite au coup de dague porté par Klaus)
Klaus : Ce n'est pas trop tôt. J'en avais plus qu'assez d'attendre. Mais je voulais tant voir la tête que tu ferais, et je dois reconnaître que le spectacle est unique.
Rebekah : Espèce de chien ! Quels jours sommes-nous?
Klaus : Dimanche.
Rebekah : J'ai passé sept jours dans ce lit? Marcel il n'a rien j'espère?
Klaus : C'est l'an de grâce 1887, tu y as passé 52 années.
Rebekah : Quoi?
Klaus : Et ne t'inquiète pas pour Marcel.Je lui ai proposé une alternative. Soit il choisissait de retirer la dague et il vivait le reste de sa vie humaine à tes côtés, soit…
Rebekah : Non.
Klaus : … Soit j'en faisais un vampire tel qu'il en a toujours exprimé le désir, si en échange il renonçait à t'aimer.
Rebekah : Non, jamais il n'aurait accepté.
Klaus : Ho et pourtant, si.
(Marcel entre dans la chambre)
(AUJOURD’HUI)
(Rebekah se réveille près de Marcel)
Marcel : Content de te revoir. T'es restée KO longtemps.
Rebekah : Je suis où? Qu'est ce que je fais là?
Marcel : Tu as contrariée Davina. C'est bien que j'aie eu l'occasion de te la présenter. Au moins, tu sais à qui tu as à faire.
Rebekah : C'est mon ancienne chambre.
Marcel : C'est la mienne aujourd'hui, tout comme cette ville est à moi. Davina est à moi et Elijah est à moi et il en sera ainsi jusqu'à ce que je me lasse. Tout ce qui, autrefois vous appartenait, est à moi.
(Marcel se dirige vers la sortie mais s'arrête devant la porte)
Marcel : Et ne lève plus jamais la main sur Camille, c'est clair ?
(Marcel part et ferme la porte)
[ MAISON DES MIKAELSON ]
(Klaus entre dans la chambre de Hayley. Cette dernière dort toujours. Il aperçoit le flacon de poison et le sent)
Hayley : Je ne l'ai pas utilisé.
Klaus : Tu ne dors pas ?
Hayley : J'ai eu du mal à dormir cette nuit. Il fait une chaleur à crever dans cette maison.
Klaus : Pourquoi tu ne l'as pas bu? Tu aurais pu t'en aller loin de toutes ces histoires, loin de moi.
Hayley : En fait, quand je repoussais ces vampires, j'ai réalisé que ce n'était pas que moi que je voulais protéger. C'est peut-être relié au fait que mes parents biologiques m'ont abandonnées et que mes parents adoptifs m'ont foutus à la porte. La situation était extrême, et je me suis rendue compte que je le protégerais toujours, envers et contre tous.
Klaus : J'ai l'impression qu'on n'est pas très différents tous les deux. On est des proscrits. On a appris à se battre contre nos pouces dans nos retranchements.
Hayley : Là, on peut dire qu'on est acculé.
Klaus : AAH de toute évidence, le moment est venu de riposter, petite louve.
(Klaus se dirige vers la sortir, une fois arrivé devant la porte il est stoppé par Hayley)
Hayley : Toute cette histoire avec Marcel, l'accord que tu as conclu avec les sorcières, ta promesse de le renverser et prendre tous ce qu'il lui appartient. D'après ta sœur, tu le considérais comme un membre de ta famille. Que s'est t-il passe ?
Klaus : Sans moi, Marcel n'aurait rien de tout ça. Je l'ai traité comme un fils. Quand mon père nous a chassé, moi et ma famille, de la Nouvelle-Orléans il y a un siècle, nous avons pensé qu'il avait été tué. Nous avons tous pleuré sa mort, à notre manière. Quand je suis revenu, j'ai découvert qu'il avait survécu et aussi prospéré. Au lieu d'aller à notre recherche, au lieu de rester solidaire de nous, de ne faire qu'un, il a pris la discision de tout rafler. Ma famille avait des biens qu'il a pillés sans relâche. Maintenant, il vit chez nous. C'est dans nos chambres qu'il passe ses nuits et ce M qu'il tamponne sur tout ce qu'il trouve, ce n'est pas celui de Marcel c'est celui de Mikaelson. Je veux tout récupérer et si il faut l'éliminer pour y arriver, je n'hésiterai pas une seconde. Je vais demander à quelqu'un de régler la clim.
(Klaus quitte la chambre et descend les escaliers et croise Rebekah qui vient de rentrer)
Rebekah : Tu avais raison. Camille, la fille, c'est la clé. Elle plaît à Marcel, et grâce à ça j'ai eu l'occasion de voir l'arme secrète que tu le soupçonnais d'avoir.
Klaus : Je t'écoute. Trêve de cérémonie. Qu'est-ce que sait?
Rebekah : La question, ce n'est pas «qu'est-ce que c’est », mais qui c’est ? C'est une fille. Davina. Elle ne doit pas avoir plus de seize ans et je n'avais jamais vu de pouvoir aussi fort.
Klaus : Une sorcière.
Rebekah : C'est aussi plus qu'une simple sorcière. Je n'avais jamais vu ça. C'était plus intense, plus fort que tout, et part ta faute, elle détient Elijah. Elle pourrait lui faire du mal.
Klaus : Où est-elle?
Rebekah : La salle petite fouine. Je n'en ai aucune idée.
Klaus : Qu'est ce qu'il y a?
Rebekah : Elle a effacée de ma mémoire l'endroit où elle se trouve. Marcel possède une arme mille fois plus puissante qu'un originel et tu lui as offert notre frère sur un plateau. Tu crois qu'Elijah te pardonnera encore une fois ? tu crois qu'il va espérer ta rédemption encore longtemps ?
Klaus : Je devais faire quelque chose. Marcel à volé notre Royaume.
Rebekah : Et notre Royaume ne vaut rien sans notre famille. Je vais retrouver Elijah quoi qu'il en coûte. Est-ce que tu vas m'aider?
Klaus : Je ferais le nécessaire.
[ EGLISE SAINTE-ANNE ]
(Marcel se rend chez Davina, qui est en train de dessiner)
Marcel : Désolé pour ces désagréments.
Davina : Elle ne me fait pas peur. Pas plus que les autres.
Marcel : Ça, je n'en doutais pas. Mais on dirait qu'ils ont la ferle intention de récidiver.
Davina : Ils n'ont rien à faire ici.
Marcel : Je ne pense pas qu'ils voient la chose de la même façon. C'est pour ça que j'aurais un service à te demander. J'aimerais que tu trouve le moyen de tuer les originels.
Ecrit par hawai19